Pourquoi une biographie ?
Parce que vos enfants, petits-enfants, proches, vous le réclament. Parce que votre vie compte tant de chapitres qu’il vous faut les conter. Parce que seul l’un d'eux — votre mariage, une rencontre, votre carrière professionnelle — vous a laissé un sentiment d’impérissable. Parce que vous avez eu des chagrins, vous avez des regrets qui, aujourd’hui, demandent à voir le jour.
Parce que vos enfants, petits-enfants, proches, vous le réclament. Parce que votre vie compte tant de chapitres qu’il vous faut les conter. Parce que seul l’un d'eux — votre mariage, une rencontre, votre carrière professionnelle — vous a laissé un sentiment d’impérissable. Parce que vous avez eu des chagrins, vous avez des regrets qui, aujourd’hui, demandent à voir le jour.
Parce que vous souhaitez
Laisser un témoignage, le souvenir d’une époque aujourd’hui révolue. Parce que, tout simplement, vous en avez le désir.
Laisser un témoignage, le souvenir d’une époque aujourd’hui révolue. Parce que, tout simplement, vous en avez le désir.
VOUS RECHERCHEZ LE MOYEN
DE RETRANSCRIRE LE RECIT D’UNE VIE ?
Mes souvenirs, mémoires...
“ Je me souviens encore de ces heures où la nuit avait définitivement pris sa place. Seule, Maman était encore en éveil et continuait, en automate, de tourner nerveusement les pages d’un magazine ou déplaçait pour la dixième fois un objet devenu invisible par l’insupportable attente. Quand, enfin, à travers le silence cotonneux du village endormi, perçait le ronronnement familier d’un moteur pressé, puis claquait la porte d’entrée libérée du verrou, alors je me précipitais les paupières mi-closes, ensommeillée et éblouie, pour parcourir le couloir glacé et sauter dans les bras de mon père que mille ans et trois jours avaient éloigné de moi... ”
Souvenirs d’une enfance, Anne Palier
“ Je me souviens encore de ces heures où la nuit avait définitivement pris sa place. Seule, Maman était encore en éveil et continuait, en automate, de tourner nerveusement les pages d’un magazine ou déplaçait pour la dixième fois un objet devenu invisible par l’insupportable attente. Quand, enfin, à travers le silence cotonneux du village endormi, perçait le ronronnement familier d’un moteur pressé, puis claquait la porte d’entrée libérée du verrou, alors je me précipitais les paupières mi-closes, ensommeillée et éblouie, pour parcourir le couloir glacé et sauter dans les bras de mon père que mille ans et trois jours avaient éloigné de moi... ”
Souvenirs d’une enfance, Anne Palier
ANNE PALIER,
BIOGRAPHE INDEPENDANTE, 50 ANS
Définition...
Du grec ancien bios — la vie — et graphein — écrire —.
A découvrir : le journal de ma Grand-Mère...
C'est le journal de guerre d'Amélie Hardouin, mon aïeule, que je laisse en lecture sous forme de feuilleton. C'est le quotidien d'une guerre entre 1917 et 1919, non pas celle des tranchées, mais celle des femmes, dont les témoins manquent aujourd'hui pour dire ce que fut cette vie, cette époque, ce vingtième siècle, début du monde moderne.